29 janvier 2010
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13:15
Nous voici donc arrivés à Tamatave. Nous prenons un bungalow dans le complexe ci-dessous au bord de la plage. Le bruit des vagues toute la nuit... Ayant perdu 1 000 mètres d'altitude pour nous retrouver au bord de la mer, nous retrouvons la chaleur et l'humidité mais quand même moins intense qu'à Mayotte.
Interdiction formelle de se baigner : c'est infesté de requins !
Quelques photos du coucher de soleil. Tout de suite après, il faut vite filer dans son bungalow car plage mal fréquentée à la nuit tombée...
Nous sommes encore une fois un peu déçus par cette grande ville, au même titre que Tana : il n'y a pas grand chose à voir et les gens y sont agressifs.
Près du marché, deux hommes se sont présentés à moi en me disant qu'ils avaient des choses "tombées du bateau" à me vendre (c'est bien une ville portuaire, je connaissais plutôt "tombées du camion"). Je leur dis courtoisement que je ne suis pas intéressé. L'un d'eux sort un couteau de sa poche et déploie la lame en me la présentant bien et en me disant : "Il faut acheter !". Par réflexe, je les envoie sur les roses et ils repartent. C'est quelques secondes après que je me suis rendu compte que cela aurait pu mal tourner...
L'office du tourisme nous dit à mi-mot qu'il n'y a pas grand chose à faire à Tamatave. C'est un très gros port qui exporte notamment énormément de litchis et c'est tout.
Les enfants mendient énormément : ils dévorent le moindre petit aliment que l'on peut leur offrir : spectacle très désolant.
Vue depuis la plage
Interdiction formelle de se baigner : c'est infesté de requins !
Quelques photos du coucher de soleil. Tout de suite après, il faut vite filer dans son bungalow car plage mal fréquentée à la nuit tombée...
Ah, il a plu à Tamatave. A certains endroits dans les rues, nous avons eu de l'eau jusque mi-mollet...
Nous sommes encore une fois un peu déçus par cette grande ville, au même titre que Tana : il n'y a pas grand chose à voir et les gens y sont agressifs.
Près du marché, deux hommes se sont présentés à moi en me disant qu'ils avaient des choses "tombées du bateau" à me vendre (c'est bien une ville portuaire, je connaissais plutôt "tombées du camion"). Je leur dis courtoisement que je ne suis pas intéressé. L'un d'eux sort un couteau de sa poche et déploie la lame en me la présentant bien et en me disant : "Il faut acheter !". Par réflexe, je les envoie sur les roses et ils repartent. C'est quelques secondes après que je me suis rendu compte que cela aurait pu mal tourner...
L'office du tourisme nous dit à mi-mot qu'il n'y a pas grand chose à faire à Tamatave. C'est un très gros port qui exporte notamment énormément de litchis et c'est tout.
Les enfants mendient énormément : ils dévorent le moindre petit aliment que l'on peut leur offrir : spectacle très désolant.